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[BLOG] Post-Moderne souhaite un joyeux 5e anniversaire au festival Plein(s) Écran(s) !

À une époque qui nous semble déjà bien lointaine, celle où il était encore possible de nous réunir en groupe afin de partager les joies de la cinéphilie en salles, Plein(s) Écran(s) s’imposait déjà en tant que pionnier de la diffusion en ligne, question de propager l’amour du court métrage au plus large public possible. Et oui, voilà déjà cinq ans que les membres de l’équipe fondatrice (composée de Patrice Laliberté, Vincent B. Deslauriers, Julie Groleau, Paul Landriau et Jean-Christophe J. Lamontagne) ont réuni leurs forces pour mettre sur pied ce festival se déroulant entièrement sur Facebook, déterminés à faire rayonner les plus belles pépites du cinéma de chez nous.

En tant que partenaire principal, Post-Moderne est à nouveau fier de remettre son Grand Prix (5000$ en location d’équipement caméra et 5000$ en location de salles de postproduction) à un éventuel lauréat de la compétition québécoise, section dans laquelle figurent plusieurs films sur lesquels notre équipe a eu la chance de travailler!

En espérant dur comme fer de vous revoir dans un cinéma près de chez vous dans un futur proche, mais d’ici là, rendez-vous sur Facebook du 13 au 25 janvier afin de profiter de la crème du court métrage québécois et français de cette dernière année. Voici donc un aperçu de nos beaux projets, disponibles sur la page Facebook de Plein(s) Écran(s) durant une période de 24 heures selon la date indiquée.

Compétition québécoise

Je finirai en prison
d’Alexandre Dostie

Féroce, singulier, poétique. Le deuxième court métrage de l’artiste multidisciplinaire Alexandre Dostie s’empare de l’hiver québécois comme toile de fond du récit d’émancipation de Maureen Sauvageau, une femme au foyer qui, dans sa fuite, se retrouvera mêlée malgré elle à un accident routier mortel.
*Disponible le 13 janvier

Landgraves
de Jean-François Leblanc

Un autre cauchemar hivernal, dans lequel un jeune journaliste désinvolte ira à la rencontre du ténébreux duo heavy metal LANDGRAVES – à ses risques et périls. Un huis-clos perturbant et maîtrisé, s’inscrivant dans les meilleures traditions du cinéma d’épouvante.
*Disponible le 14 janvier.

Mélopée
d’Alexis Fortier Gauthier

Intrigué par la mer et son appel mystérieux, un jeune homme en vacances avec un couple d’amis deviendra de plus en plus envoûté par ce qui s’y cache. Un récit initiatique doublé d’un conte fantastique captivant, tirant profit du magnifique paysage de la Haute-Gaspésie.
*Disponible le 18 janvier

Celle qui porte la pluie
de Marianne Métivier

Le thème du deuil imminent abordé dans toute sa subjectivité, brouillant les pistes entre réalité et songe, le tout porté par une mise en scène contemplative et sensorielle.
*Disponible le 20 janvier

King Lajoie
de Joannie Lafrenière

Quand la réalité dépasse la fiction avec style! Joannie Lafrenière nous plonge dans l’univers plus grand que nature d’Elvis Lajoie, un homme trifluvien qui porte le « king » dans son cœur depuis sa mort, si bien qu’il a fait sa vocation de le personnifier. Un documentaire dont l’excentricité ne surplombe jamais l’humanité.
*Disponible le 20 janvier

Jarvik
d’Émilie Mannering

Un beau portrait tout en délicatesse de l’enfance fragile de trois frères et sœurs, à la fois mélancolique et lumineux, mettant en vedette des jeunes comédiens au talent indéniable.
*Disponible le 21 janvier

Insomniaque(s)

Que votre empire s’étende
d’Albéric Aurtenèche

L’univers diaboliquement mystérieux du cinéaste Albéric Aurtenèche s’intègre parfaitement à cette nouvelle section nocturne du festival, dans laquelle l’équipe de programmation nous offre une sélection audacieuse et décomplexée. Pour adultes avertis!
*Disponible le 22 janvier (à partir de 23h)

Rétrospective

Brotherhood
de Meryam Joobeur

Saisissez la chance de rattraper (ou de redécouvrir) le succès monstre de Meryam Joobeur, nominé pour le prix du meilleur court métrage à la dernière cérémonie des Oscars. Présenté dans le cadre de la rétrospective Midi La Nuit!
*Disponible le 23 janvier

Benjamin Pelletier